Que voir et que faire entre amis à Courbevoie ?

Une activité captivante entre amis est le bowling de Courbevoie, un lieu animé où il est possible de passer une soirée divertissante entre amis en s’affrontant amicalement. 

 

L’Escape Game local propose une expérience immersive à partager en groupe, favorisant l’esprit d’équipe et la coopération. Ces activités moins courantes présentent des atouts particuliers, telles que la possibilité de s’amuser tout en découvrant des lieux plus authentiques et moins fréquentés. Ainsi, Courbevoie offre un cadre idéal pour créer des souvenirs inoubliables avec vos amis, que ce soit en pleine nature, à travers des loisirs divertissants ou autour d’un bon repas. Autre lieu à découvrir : l’Ancien hôtel de Guines.

Place de l'Hôtel-de-Ville

Aménagé en 2015, avec la suppression du terrain de basket, et de nouveau en 2017, ce square se trouve au pied du Centre culturel de la Ville, juste derrière le Lycée d’Enseignement Professionnel Paul Painlevé, dont la façade est en brique rouge.

 

Ce lieu mérite d’être exploré, car il représente une véritable oasis face à l’ancienne mairie. Prendre le temps de déambuler dans ses allées permet d’admirer, au loin, les tours de La Défense, mettant en avant l’importance de la nature à Courbevoie, à seulement un kilomètre du quartier d’affaires. Ce square a aussi une valeur mémorielle.

 

Derrière un massif de bambous, une ancienne fontaine conçue par l’architecte Nicolas Rosier est intégrée à un escalier en briques, offrant un accès à l’allée Molière, première partie du parc De Lattre de Tassigny. Ce square abrite le cercle des Anciens combattants et un espace commémoratif avec des mâts porte-drapeau, où plusieurs stèles commémoratives ont été regroupées depuis 2017 pour permettre l’organisation régulière de cérémonies.

Dans un esprit mémoriel, deux arbres symboliques évoquent les amitiés de Courbevoie avec ses villes jumelées : un cèdre du Liban, offert et planté le 20 juin 2015 par Monsieur Antoun Maroun, maire de Beit Mery (Liban), et un chêne d’Angleterre, planté le 17 novembre 2018 en présence de la maire du borough londonien d’Enfield (Angleterre), à l’occasion du centenaire de l’armistice.

Caserne Charras et une balade dans le parc Bécon

Allez admirer la caserne Charras, qui se trouve à Courbevoie dans le département des Hauts-de-Seine. Cet ancien édifice, dont une partie de la façade a été soigneusement réinstallée dans le Parc de Bécon, a été construit en 1756. Il fait partie des trois casernes qui ont été érigées pour les Gardes suisses à la suite d’un décret royal datant de 1754, conçu selon les plans de l’architecte français Charles-Axel Guillaumot. La caserne Charras a été bâtie en même temps et selon le même modèle que les casernes de Rueil-Malmaison et de Saint-Denis.

C’est de cette caserne que les Gardes suisses, sous le commandement du marquis de Maillardoz, qui a pris la place de son oncle, Louis-Auguste d’Affry, ont quitté le 10 août 1792 pour se rendre à la défense des Tuileries, sur ordre de Louis XVI. Parmi les 950 soldats engagés dans cette mission, seuls 300 ont réussi à revenir.

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Venez explorer les différents trésors qui se trouvent au sein du Parc de Bécon et dans ses alentours ! Cette expérience vous permettra de découvrir des bâtiments à l’architecture originale, des joyaux issus de l’Exposition universelle de Paris de 1878, ainsi que les traces du passé viticole de la ville. Au cours de cette balade commentée, vous aurez l’opportunité de visiter des lieux emblématiques tels que le Musée Roybet Fould, le Cinéma Abel Gance, la Grande vigne, le Fronton de la Caserne Charras, le Théâtre de verdure, l’Orangerie et, pour finir, le Pavillon des Indes.

Pavillon des Indes

Conçu par l’architecte anglais Caspar Purdon Clarke pour le prince de Galles, futur roi d’Angleterre Édouard VII, le Pavillon des Indes a été pensé pour présenter ses collections lors de l’Exposition universelle de 1878 à Paris.

 

Ce Pavillon a rencontré un vif succès, attirant plus de 16 millions de visiteurs sur le Champ de Mars, le site de l’Exposition. Le prince Georges Stirbey, qui possédait le Parc de Bécon, a acquis une partie de ce Pavillon afin d’en faire un atelier pour sa belle-fille, Georges Achille-Fould, artiste peintre passionnée par les thématiques féminines. En 1881, lors de son remontage à Courbevoie, le Pavillon a été adossé à un bâtiment en briques et à une grande verrière, créant une fusion harmonieuse entre la pierre et le bois, caractéristique de son architecture originale. En 1951, l’édifice a été cédé à la ville.

 

Actuellement, le Pavillon des Indes abrite une exposition permanente intitulée Le Pavillon des Indes, de l’Exposition universelle à aujourd’hui, qui retrace l’évolution du Pavillon à travers le temps. Cette exposition offre une plongée dans le contexte historique et culturel du début de la IIIe République et de l’Exposition universelle, permettant aux visiteurs de découvrir des documents d’archives et des maquettes illustrant l’histoire du château et du Parc de Bécon. Des salles à thèmes offrent une compréhension approfondie de l’histoire singulière de ce bâtiment à l’architecture distinctive.

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Au premier étage, les visiteurs peuvent explorer des salles décorées de marqueterie ainsi que des meubles de salon réalisés par l’ébéniste Gabriel Viardot (1830-1906). La réhabilitation architecturale du Pavillon des Indes a permis de redonner vie à son riche passé artistique. Chaque année, pendant une période de neuf mois, l’atelier du Pavillon des Indes accueille un sculpteur en résidence, favorisant l’émergence de jeunes artistes et leur intégration dans le milieu artistique professionnel. Les visites du pavillon s’effectuent uniquement sur réservation par téléphone auprès du Musée Roybet Fould, au 01 71 05 77 92.

Pavillon de la Suède et de la Norvège

Pour sa belle-fille Consuelo Fould, le prince Stirbey a ajouté à une maison, érigée vers 1890, le pavillon de Suède et de Norvège, issu de l’Exposition universelle de 1878. Ce pavillon a été conçu par l’architecte norvégien Henrik Thrapp Meyer, où la partie gauche représente le pavillon suédois et la partie droite, le pavillon norvégien. L’architecte Pasquier a réalisé un atelier d’artiste attenant à la maison. En 1927, l’ensemble a été légué à la commune avec la condition qu’il soit transformé en musée.

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Le musée organise chaque mois une conférence au Pavillon Suède-Norvège. Ces conférences, programmées le jeudi soir, sont à ne pas manquer. Elles sont présentées par des experts dans leurs domaines respectifs et traitent de sujets liés à l’exposition temporaire en cours, ainsi qu’à l’actualité culturelle de Courbevoie, du département des Hauts-de-Seine et de Paris.

Patinoire Thierry Monier

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La patinoire Thierry Monier couvre une superficie de 56 mètres de longueur et 26 mètres de largeur, offrant un espace de glace polyvalent, parfait pour une variété d’activités. Elle peut accueillir jusqu’à 700 spectateurs assis et recevoir un maximum de 1500 personnes au total. Ce site dynamique est le centre d’activités pour des clubs de hockey sur glace et de patinage artistique. En plus des matchs de hockey, la patinoire propose des cours de patinage, des options de location de patins, des spectacles, ainsi que des gradins qui permettent aux visiteurs de profiter pleinement de chaque événement. La patinoire est ouverte aux amateurs de septembre à mai.

Rendez-vous au bassin de Takis entre amis !

Voici une œuvre envoûtante, mystérieuse et captivante ! À l’extrémité de la dalle, offrant une vue imprenable sur le pont de Neuilly et l’Arc de Triomphe, se trouve une œuvre d’art remarquable. Une série de 17 têtes lumineuses, colorées et clignotantes, s’anime dans l’eau au rythme d’une séquence énigmatique… Découvrez le bassin de Takis !

Ces créations, connues sous le nom de “sentinelles”, sont l’œuvre de l’artiste grec de renom, Panayotis Vassilakis, surnommé Takis. Depuis les années 1950, cet artiste s’attache à explorer le mystère de l’énergie et à capter des “signaux” invisibles, cherchant à dévoiler des vérités cosmiques…

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Ces “signaux” ressemblent à des éléments que l’on pourrait croiser dans une gare moderne. Toutefois, leur but n’est pas d’annoncer les horaires des trains. Ils jouent plutôt le rôle de messages codés, une façon intrigante de révéler des réalités imperceptibles à l’œil nu. Ce concept a pris forme en 1974, lorsque l’établissement public chargé du développement de La Défense a décidé d’intégrer l’art contemporain dans la création du nouveau centre d’affaires. Takis a alors proposé ces “signaux lumineux” destinés à être installés en plein air, face à Paris. Cette idée a été approuvée, donnant naissance à la célèbre œuvre « Bassin de Takis » ! Désormais, il est possible d’admirer 17 signaux lumineux mesurant entre 6 et 11 mètres. Plantés dans l’eau du bassin, ils se dressent derrière la Grande Arche, en face de l’Arc de Triomphe.

 

À la nuit tombée, ces signaux se transforment en phares, illuminant tel des guides dans un port. Leurs lumières clignotent de manière aléatoire, créant un spectacle lumineux envoûtant. Imaginez-vous entouré de ces lumières dansantes, avec l’Arc de Triomphe brillant en toile de fond et les gratte-ciels de La Défense s’élevant tout autour.